TIPHAINE HAMEREL
Tiphaine Hamerel est née en 1976 à Paris.
Ayant réussi à trouver le moyen de faire une terminale aux États-Unis, un DEUG à Tahiti, une maîtrise en littérature et cinéma et un DEA en théâtre
et opéra, elle a ensuite eu la chance insolente d’être payée pour filmer des opéras à Garnier et lire des manuscrits aux Éditions du Rocher puis aux
Éditions de La Reinette, avant de rejoindre la Bande à Basile (Moreau).
Amateure professionnelle honoris causa (pour l’ensemble de sa carrière artistique (très) amateure en tant que flûtiste, artiste du chœur se muant parfois en soliste, actrice pour des
courts-métrages, réalisatrice de documentaire ou encore photographe), on ne lui connaît qu’un nombre raisonnable de passions et/ou obsessions : l’opéra en général et les chemises de
Rolando Villazon en particulier, l’œuvre d’E. M. Forster en général et Howard’s end en particulier, les bonus d’X-Files en général et le rire
de Gillian Anderson en particulier, les langues en général et celle des signes en particulier, Blake Edwards en général et sa femme en particulier, les relations
humaines en général et celles qu’elle entretient avec son mari et ses enfants en particulier. Ayant parfois « une âme trop ardente pour se contenter du réel de la vie », telle la
Mina de Vanghel stendhalienne, elle saupoudre son existence « d’arte e d’amore » aux accents pucciniens. Tiphaine Hamerel aurait aimé être
cow-boy mais elle préfère les Indiens et a horreur des baked beans.
Cette bio est relativement à l’image de son parcours : pas très académique mais plutôt honnête (dans l’ensemble).